11, ça pourrait être la note que mérite ce titre en forme de jeu de mot… douteux… pas plus !
Mais bon, c’était la 11ème session, il y avait 11 stagiaires, c’était pour marqué le coup…
C’est quand même pas très pro de commencer le bilan d’une session en disant qu’on s’est bien marré… Tant pis, on assume !
Alors :
- Pour les futurs potentiels stagiaires qui passent par là
- Pour les autorités compétentes qui nous habilitent
- Pour la NSA et tous ceux qui s’intéressent à nous
“ on n’a quand même pas fait que ça !”
On a aussi pas mal bossé, beaucoup progressé, énormément appris, sur les arbres, les techniques, les autres, nous même…
Après quelques semaines de recul, une belle sensation générale du devoir accompli, un sentiment d’avoir vécu un « vrai truc » qui donne envie de continuer.
Faut dire qu’on l’attendait cette « première nouvelle formation », on avait même fait un séminaire pour la préparer, oui, un sé-mi-naire.
C’est un genre de réunion « fouille cervelle » où on passe du brainstorming au résumé, de la synthèse au bilan, où on échange, on s’engueule, on défend son point de vue… mais qui se fini toujours par du concret, circonstances obliges !
Pour dire si c’était bien : on s’est dit qu’on recommencerait l’année prochaine.
On avait décidé de changer pas mal de choses, de tester quelques nouveautés, en gardant l’essentiel : notre envie de bien faire.
Mais dans le domaine de la formation, on a beau tout prévoir, la variable incontrôlable, l’ingrédient principal reste Le Stagiaire.
Y’en aurait qu’un, on pourrait le choisir, le sélectionner précisément, mais voilà, ils sont plusieurs, souvent très différents et comme le disait… machin…, souvent, « le tout est supérieur à la somme des parties » !
Supérieur en quoi, là est la question, car la dynamique de groupe, si elle est toujours bien présente sur une session de 6 semaines, nous réserve chaque fois des situations uniques !
Alors là, quand on a vu arriver les stagiaires, on espérait vraiment que « ça l’ferait » comme on dit !
Là s’arrête ce qu’on peut dire, nous, sur le sujet.
Ce qu’on en a pensé n’a d’importance que pour nous et cet article n’est pas là pour ça ! Libre aux intéressés de faire des commentaires s’ils le souhaitent… là est peut être le véritable objectif de cet article en fait !
Pour innover, en cette période de jardinage, nous ouvrons une nouvelle rubrique « Recette de Grand-mère », avec cette semaine : La soupe de Mamy Julienne.
- Prenez une grosse gamelle
- plongez y les légumes entiers, tels quels, sans les peler ni les laver ni les couper
- laissez mijoter environ… 6 semaines
- c’est prêt
Il en ressortira la même chose que ce qu’on y a mis : des légumes entiers mais emprunt de la saveur des autres… essayez vous verrez comme c’est bon !
Pour finir, un peu de com, de pub, de marchandising :
Recherchons pour les sessions à venir : des filles, des garçons, des arboristes, des jeunes, des… moins jeunes, des qui savent grimper, des qui savent pas, des qui viennent de loin ou de tout à côté, des calmes, des excités, des curieux, des bricolos, des artistes, des sensibles….
Profil souhaité : pas trop grand pour rentrer dans la gamelle CEPALE, motivé par la cause des arbres, ouvert d’esprit et contrôle technique OK.
Pour quoi faire : on va tous vous mettre dans la même gamelle, on va lancer le vortex et au bout de 6 semaines, n’en doutons pas, la soupe sera bonne !
A bientôt chez nous pour la douzième ou la suivante, c’est tout le mal qu’on peut se souhaiter, et les uns et les autres !
PS1 : la 11, c’était vraiment d’la balle, vraiment… merci pour tous ces bons moments et vos retours qui nous motivent pour continuer.
PS2 : la biodiversité du Pilat s’est enrichie d’un nouveau Séquoiadendron Giganteum, planté comme il se doit, à la mémoire de cette 11ème session.
Encore un gros pèpère en puissance pour la 253ème session… heueueu… si vous en faite partie, faites gaffe au pissenlit, là, juste à côté, y’a du monde qui s’repose dessous !